Je restais bouche bée. Ce n'était pas l'ainé des garnements!Non il y avait 2 types en train de vider, dans un sac de sport, les objets de valeur de mes employeurs,l’un était grand et paraissait plutôt costaud, l’autre, plus petit était assez enrobé. Décrire leur visage me fut totalement impossible pour la bonne raison qu'ils portaient, tous deux, une cagoule.
«Mais que faites vous là? » je me surpris de garder un tel sang froid
le grand me répondit:
«à ton avis? on a vu de la lumière on est rentré
Je jetais un coup d’œil,la fenêtre de la chambre était restait ouverte,ils avaient du grimper le long de la façade jusqu’au petit balcon . Je me précipitai vers le couloir pour donner l'alerte, le grand se jeta sur moi et m'immobilisa au sol. Je suppliai:
« Écoutez, je garde les gamins ici….mais si vous déconnez, je suis virée , les patrons sont de vraies têtes de cons…s'il vous plaie, il y a plein d'autres bourgeois à dépouiller dans le quartier
le gros objecta :
-Tu es gentil, tu nous laisse travailler
-De grâce!j’ai besoin de ce job » J'étais au bord des larmes, perdue entre rage et impuissance. J'aurais aimé leur casser la gueule, les mettre en fuite, et en même temps, je me disais que tout ça n'était que pour défendre les biens de cette famille de cons.
le grand se raidit, il semblait réfléchi. Il lâcha son étreinte sur ma personne et se tourna vers son acolyte.
-Au fond elle a raison cette petite!tu n’es pas humain mon grand !
-Pourquoi?
-Et bien moi, je n’ai pas envie de la foutre dans la panade! je crois qu’on va tout remettre à sa place…
-mais enfin, on a pas fait tout ça pour...…
-tais toi!,elle est si mignonne que ca me fendrais le cœur de la voir pleurer
Je ne pus me contenir:«Merci monsieur!vraiment vous me….
Il m'interrompis d’un ton péremptoire
-Je n’ai pas fini!je résume, donc là, il faut envisager un échange de bons procédés,j’ai été gentil avec toi,à ton tour de l’être avec nous.
Je me raidis,je discernais ce qui naissait dans ce crane bien caché sous la cagoule
«vous n'allez pas….
-ne t'affole pas, on n'est pas des barbares, juste des romantiques. On aime les jolis portraits de femmes et tu flattes notre fibre artistique! » s'adressant à l'autre « Elle est splendide, tu ne trouves pas ? »
l’autre acquiesça : -en effet!
-Par contre,il n'y a qu’une chose qui jure c’est ton affreux tee shirt,alors tu vas juste l’enlever,pour qu’on puisses profiter des trésors qu'il dissimule.
-Mais…
-C'est donnant donnant, ma belle! »
Je soupirais profondément!Au fond ,ma sacro-sainte pudeur en trinquerait mais l’essentiel c'était de ne pas avoir de problèmes; abrutis comme ils étaient, les Matouret m'auraient congédié sur le champs. Je les observais, puis baissant les yeux, je pris à 2 mains mon tee shirt et dévoila pianissimo mes cuisses ma culotte puis mes petits seins, je jetais le bout de tissus sur le sol. J'étais une midinette un peu craintive qui attendait de savoir à quelle sauce elle serait mangée
-Vraiment, tu es très belle, observes donc ces petits tétons saillants et cette magnifique silhouette , de belles courbes, un ventre tout plat, de belles jambes fuselées, des épaules fines! mais dis moi, toi qui est si brune! ton petit buisson, il doit être bien noire? j’adore les sexes de brunes,ils sont tellement plus mystérieux que ceux des blondes…on ne voit rien!on doit tout imaginer!dis moi tu ne le rases pas ,au moins?
je secouais la tête. Je devenais un peu plus conciliante, touchée par les compliments relatifs à mon physique.
-fabuleux! alors tu vas nous montrer ça. Allez, débarrasse toi de cette odieuse culotte !
Résignée, je fis glisser le slip le long de mes jambes, j'étais nue comme la vénus sortant des eaux sur le fabuleux tableau de Botticelli
-Regarde donc, ce sexe si joliment fournit,c’est noir ébène » il avait jeté son dévolu sur mon mont de venus, cette toison brune qui avait cloué leur regard malicieux
assez curieusement, je trouvais la situation de moins en moins pénible. Je dois même avouer que cette exhibition improvisée, finissait par me plaire. Être à la merci de ces deux voyous dissimulés sous leur masque , et alors que je ne voyais rien,eux me voyaient entière, sans aucun artifice, chaque grain de ma peau vouée à leur contemplation dissolue
le grand s’adressa encore à moi sur un ton assuré, sans aucune expression d'excitation:
« ouvre les cuisses! Dévoile toi, ma sublime»
j’offrais à leurs regards épanouis la vision de ma vulve . J'étais livrée à leurs jeux pervers. Sans défense aucune, prompte à accepter leur moindre caprice. Le grand poursuivit:
« regardes dans sa pilosité, ce petit chemin tout rose,c'est un délice! Il y coule un nectar suave, je suis sur que le tien a une saveur douce! Puis je te demander une faveur?
-dîtes toujours!répondis je d'une voix sourde, perdue entre mon désir naissant et la peur de celui-ci
-et bien, permettre à mon ami de venir s'abreuver dans ta fontaine exquise!
Je me penchais vers le second, tendis le bras et lui chuchota d'une voix sensuelle: « viens »
il s'approcha lentement, vraisemblablement intimidé, se mit à me caresser délicatement les chevilles, remontant avec douceur jusqu'à mes genoux pour fondre avec son souplesse entre mes cuisses, je les maintenais ouvertes pour accueillir comme un hommage cette main galante, mon bouton nacré s'irisa de rosée de désir en signe d'hospitalité. Il posa sur ma bouche un baiser chaud et malgré le masque qu'il avait conservé je sentais l'aspérité d'une moustache qui venait me râper le dessus des lèvres. Nos langues entremêlèrent dans un ballet indolent, je posais nonchalamment une main sur son épaule, en signe de tendresse et de soumission, tandis que son doigt avait atteint mon sillon rose qui s'inondait dans la confusion de mes sentiments. (la suite dans mon livre)
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